Décidément ce gouverneme,t aime afficher ses incompétences.
Ce couvre feu signale que le nombre de lits d'accueil et de réanimation est insuffisant par rapport à la population.
Face à cette épidémie certes sévère, et qui a surpris beaucoup de gouvernements, le notre n'a pas fait grand chose après le confinemernt du printemps, il a trouvé de nouvelles rustines, mais je ne vois toujours pas où sont les réparations
Billets
Enfin la pluie!
Que ces quelques gouttes sont agréables, après de chaudes, très chaudes et parfois trop chaudes journées d'été, qu'il est bon de pouvoir enfin se rafraîchir.
Et la végétation, enfin une pause dans les arrosages.
Il est vrai que les soirées d'été en terrasse sont extraordinaires, mais l'herbe est sèche, brûlée.
Voilà l'automne qui ne va pas tarder, il nous reste encore de belles journées en prévisions, moins chaudes, plus humides,
Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.
Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.
Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.
Flambé dans la Lavande
C'est l'été , les parfums de la lavande, les jeux de couleurs et les vols de papillon
Quand nous chanterons le temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur
Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreilles
Cerises d'amour aux robes pareilles
Tombant sous la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu'on cueille en rêvant
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait déclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu cette vêprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vôtre pareil .
Las ! voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautés laissé choir !
Ô vraiment marâtre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !