Le pape est mort, Un nouveau pape est appelé à régner, Quel drôle de nom pour un pape ! Pourquoi pas libellule ou papillon ?
Bon d’accord classique et ancien, Mais quand même, que dire avec Léon ? Peut-être avec XIV, ou autre chose, Bon, allez, le pape est mort vive le pape Léon
Ça commence avec les moules, pas les petites, Non pas celles à peine visibles entre leurs 2 coquilles, Non pas celles vendues chères parce que si petites. Il nous faut la belle, bien charnue et goûteuse, Parfumée délicatement dans une cuisson parfaite.
Ensuite, la frite, dorée, molle et craquante à la fois. Si peu savent préparer cette grosse pomme de terre, Rustique mais tellement essentielle. Parfaitement salée, juste accompagnée De mayonnaise belle et généreuse.
Quel temps magnifique sous le soleil Une langoureuse chaleur nous envahit là pensifs entre 2 caps en noir et blanc. Le regard perdu sur l’immensité des 2 mers plonge vers l’horizon nacré de la côte anglaise. Nous nous prélassons alors que les vagues s’étalent là, sur la digue profitant de la marée haute. Au loin les paquebots promènent tels des métronomes voyageurs et véhicules d’un bord à l’autre alors que les cargos sillonnent le grand ruban bleu. Simplement une superbe journée d’automne.
"Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis" est allé, "plein d’usage et raison, Vivre" tranquillement "le reste de son âge ! "
A l’ombre parfumée d’une glycine Entouré d’hibiscus, au milieu des œillets, Parmi les géraniums et les clématites, Dans un fauteuil sous un parasol.
Plus me plaît la conversation entre aimés, Plus les gazouillis des oiseaux, Les bonds de l’écureuil, et le tambourinage du pic vert Que le bourdonnement des voitures.
Plus la forêt que la foule urbaine, Plus les sommets que les tours vilaines, Et plus l’air frais des campagnes.
Démocratie bien fragile quand Jupiter toujours plus autoritaire s'assied avec lenteur. Son trône a toutes les formes du dernier vote législatif. Sa foudre telle une allumette ne sait éclairer qu’un parti très minoritaire. Que dire d’un président qui a pour devise « CAUSE TOUJOURS » et en fait sa pratique quotidienne ? Que penser d’un personnage aidé clairement par des groupes aux chemises brunes qui refuse ses échecs ? Manifestement, lorsque ces chemins sont pris, ils mènent plus vers la dérive autoritaire que vers la démocratie
Il se croyait grand et puissant Il pensait que comme Jupiter Il pouvait contrôler la terre, Mais de sa cuisse ne sort que la petitesse, Le calcul inutile et l’incompétence Du projet ambitieux ne sort que le court terme Décidément ce président n’est que mégalomanie
Petites et rougeaudes, belles et velues Douces et parfumées, sucrées et charnues Les voilà nos premières pêches juteuses Elles annoncent les futures récoltes fructueuses
Elles viennent de si loin D’un pêcher pratiquement éteint Frappé d’une cloque agressive Déplacé et couvert d’une bouillie en lessive
Suivi de soins attentifs Couvert de voiles anti gélifs Le fruitier plein de sève Au soleil reverdit, se relève
"Mon Dieu que la montagne est belle" Ses cimes enneigées Ses gaves impétueux sautant de rochers en rochers Ses coteaux couverts d'azalées Ses paysages grandioses.
Les randonnées de haute montagne. Les chemins de pierres et de terre Les montées entousiasmantes les haltes au bord de l'eau Des orages inoubliables
Les sentiers parfumés des sapins. le souffle coupé par le vent puissant La peau cuite par un soleil brûlant Des vacances magnifiques
Inconscience et Irresponsabilité Quand un hyper président perd le contrôle, il fait des hyper âneries Dissolution de l'Assemblée Nationale une hyper illustration
- Il ne faut pas jouer avec les allumettes - La foudre est un jouet à ne pas mettre dans les mains des apprentis jupitériens - Il faut toujours tourner 7 fois la langue dans sa bouche avant de causer
- La démocratie est soluble dans la bêtise - Trop de pouvoir nuit à la pensée intelligente - Plus dure sera la chute des incompétents
- La dissolution non maîtrisée est un boomerang en puissance - Les caprices en politique nuisent gravement aux grands élus - Comme la bêtise, l'incompétence avec la nuisance peut être infinie
Enfin la SOCIAL DEMOCRATIE de retour. Après des années de silence occupées par les droites. Chère Europe, tu fournis le cadre de son expression Par le vote, les citoyens vont pouvoir dire leur espoir Enfin vient le jour du calme et de la construction Les programmes positifs sont de retour, le VOTE POUR face au VOTE CONTRE. Les cris et vociférations montrent ce qu'ils sont.
Grand moment pour un GRAND Homme En riant, à peine, des paroles simplement d'homme, Des mots superbes sur le groupe, la vie du collectif Des moments magnifiques d'humanité d'optimisme De croyance en l'avenir et une dénonciation efficace simple, redoutable contre ces extrêmes de la droite Totalement inutile de les nommer.
Pour simplement se régaler avec plaisir Regarder en replay l'émission de Quotidien (RMC) En cette bonne soirée du 25 avril 2024
Ah comme il est traître ! Quand la nuit s’enfuit Le soleil s’élève doucement derrière la colline, La chaleur s’installe et nous envahit, Les fleurs à fruits dressent leurs étamines.
Les papillons et les abeilles gourmandes volent Dans les parfums délicats, suaves et entêtants. Mais sournois, venant d’un Est lointain porté par Eole Avec le gel pour compagnon, le froid brutal descend.
Le péril grandit sur les récoltes, si importantes. Au matin, sur le pain ou la brioche les confitures Nous éveillent. Alors épais et blanc, tel une tente Le voile protecteur sur l’arbre pose une couverture
une ligne, une griffe, un soupir, un simple tracé Qui s’endort doucement au froid dans la brume Et lentement sous la neige prépare son été. Il s’étire quand un matin le soleil s’allume.
Le trait s’allonge, il s’épaissit, la griffe rougit, Si le gel l’engourdit, il reprend sa sieste. Eveillé, il gonfle, grossit et se colorie. Ses ennemis, les flocons tardifs, il déteste.
Enfin, bien réchauffé , lentement. Il se lève Ici, il s’élève, se lance en brindille vers le ciel. Là de son beau manteau vert il nourrit la sève Et là-bas il offre les couleurs au soleil
Neige, sans cesse il neige et reneige Toute les nuits et les jours, et ils déneigent. Ce beau temps, on en rêve, c'est l'hiver. De sa couverture blanche il couvre le vert
Au matin, tout engourdi derrière la vitre au réveil, Je découvre la merveille blanche quand brille le soleil. Froid,froid, toujours froid,encore plus froid. Sous mon bonnet, en mon manteau je crois.
Glisse, glisse et reglisse, le sol si bas est lisse. La glace translucide coule des tuiles si lisses. Le badaud transis a tous les murs s'agrippe Et le nez enfoui dans l'écharpe vite il fuit la grippe